Ces associés perdaient 302 000 € sur leur cash out partiel à cause d'une structuration fiscale inadaptée. Voici comment nous avons optimisé leur situation.
Ces associés perdaient 302 000 € sur leur cash out partiel à cause d'une structuration fiscale inadaptée. Voici comment nous avons optimisé leur situation.
Louis et Amaury détiennent chacun 20 % d'une société qu'ils ont fondée en 2015. Ils détiennent également des actions issues de BSPCE 2019.
Louis détient 3 % en direct et 17 % via sa holding via laquelle il se rémunère par ailleurs. Il est marié et a 2 enfants.
Amaury détient 20 % en direct. Il est marié et a 3 enfants.
À l'occasion de l'entrée d'un nouveau fonds, ils vont réaliser un cash out sur la moitié de leurs actions. Celles-ci étant éligibles à l'abattement renforcé de 85 % (et 65 % pour les BSPCE), ils ont prévu d'opter pour l'imposition au barème de leur plus-value.
Problème : sans optimisation, leur situation fiscale était loin d'être optimale.
- Pour Louis, la fiscalité totale s'élevait à 294k€, soit un taux moyen de 24,80 %. Net après fiscalité : 1 046k€.
- Pour Amaury, la fiscalité totale atteignait 333k€, soit un taux moyen de 26,36 %. Total disponible 2025 : 970k€.
Notre solution :
Nous avons mis en place une stratégie permettant de réduire significativement leur imposition :
- pour Louis : fiscalité réduite à 179k€, soit un taux de 17,88 %. Net après fiscalité : 1 169k€. Gain : 124k€.
- pour Amaury : fiscalité réduite à 150k€, soit un taux de 17,57 %. Total disponible 2025 : 1 148k€. Gain : 178k€.
Gain total sur les deux associés sur ce premier cash out : 302 000 €.
Cette optimisation combine expertise fiscale, ingénierie patrimoniale et vision long terme. Depuis 5 ans, j'accompagne mes clients avec cette méthodologie pour un ROI moyen de x22.
