Ma cliente a failli passer à côté de 53k€/an en choisissant le mauvais statut juridique lors de son passage de salariée cadre supérieure à consultante indépendante (sans parler des liquidités non placées)
Ma cliente a failli passer à côté de 53k€/an en choisissant le mauvais statut juridique lors de son passage de salariée cadre supérieure à consultante indépendante (sans parler des liquidités non placées) :
Isabelle a 59 ans, elle est mariée avec 3 enfants.
Salariée dans un grand groupe, elle a fait une bonne partie de sa carrière à l’étranger. Elle gagne très bien sa vie, mais n’a jamais optimisé.
Aujourd’hui, elle souhaite devenir consultante en management de transition. Grâce à son expérience, elle prévoit de facturer un TJM à 2 000 €, pour un CA d’environ 380k€ annuel.
Je vois de plus en plus de salariés expérimentés passer en consulting expert en freelance, comme Isabelle, avec ce besoin d’optimisation pro et perso.
Lorsqu’elle vient me voir :
- elle déteste les produits bancaires après une mauvaise expérience avec une banque sur une assurance-vie,
- elle souhaite préparer sa retraite, sachant qu’elle a des trous dans la raquette à cause de ses années à l’étranger,
- elle veut optimiser sa situation en augmentant le net dans sa poche pour son activité de consulting,
- elle désire aussi planifier sa succession.
Je fais plusieurs projections.
Si Isabelle choisit la “solution classique” pour sa situation, c’est-à-dire la SASU à l’IS, voici ce qui l’attend :
- Coût rémunération dirigeant pour la société : 342k€
- Net dans la poche après charges sociales et impôts (IS et IR) : 169k€, soit 49 %.
Mais, mes simulations mettent en évidence que la meilleure solution est la SASU à l’IR. Ce qui donne :
- Coût rémunération dirigeant pour la société : 342k€
- Net dans la poche après charges sociales et impôts (IR) : 222k€, soit 65 % avec la possibilité de monter à 70 % si Isabelle fait un versement sur un PER permettant de supprimer la tranche d’imposition à 45 %.
Évidemment, on ne s’arrête pas là.
On optimise aussi la situation perso :
- On met en place un plan de succession qui permet d’éviter 294k€ de droits de succession.
- On place les liquidités disponibles par ailleurs (460k€) sur des placements financiers rémunérateurs et faiblement chargés en frais (assurance-vie et PER).
Ceci crée une rente de 44.8k€/an pour compenser sa pension retraite assez faible.
Total des gains annuels 97.8k€
- rémunération : 53k€
- revenus du capital : 44.8k€
Cette optimisation s’applique pour Isabelle, mais on ne peut pas en faire une généralité. Chaque situation est différente, c’est pourquoi je fais du sur-mesure pour chaque client avec des simulations de toutes les options possibles.
Ces gains ne seraient pas possibles sans combiner une approche pro et perso. C'est pourquoi depuis 5 ans, j'ai mis en place cette méthodologie pour mes clients, avec un ROI x22 en moyenne.
