Holding personnelle : Avantages, Exemple, Démarche
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La holding personnelle attire de plus en plus d’entrepreneurs. Optimisation fiscale, sécurité juridique, stratégie d’investissement… Les avantages semblent nombreux. Mais quels sont les véritables atouts de cette structure, et surtout, est-elle adaptée à votre situation ?
Une holding personnelle est une société créée par un individu pour détenir et gérer des participations dans d'autres entreprises. Elle joue un rôle important dans la gestion de patrimoine.
Elle offre des avantages fiscaux. Elle facilite la transmission des actifs. Elle sépare les activités professionnelles des responsabilités personnelles.
Chez Noun Partners, nous avons accompagné plus de 120 entrepreneurs en 3 ans, leur permettant d’augmenter en moyenne leur capital de 400k€. Ce guide vous éclairera sur les avantages et les limites de la holding personnelle, tout en vous offrant des clés pour franchir le pas.
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Il y a 3 grands avantages à créer une holding “personnelle” dans votre société d'entreprise :
Un autre avantage est la capacité accrue de négociation financière que peut apporter une holding, facilitant l'obtention de financements pour ses filiales, ce qui n'est généralement pas accessible aux entrepreneurs isolés.
Vous noterez que ces avantages ne sont pas intimement liés au fait que votre société holding soit “personnelle” : ils sont également valables pour la majorité des structures qui impliquent une holding, y compris les holdings mères et filiales.
À noter également : il est essentiel de ne pas tomber dans l’abus de droit. Autrement dit, il convient de justifier que la création de la holding n’est pas motivée par une volonté d’échapper à l’imposition.
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Analyse des bénéfices liés à la création d'un holding personnelle, notamment en termes de cession de titres et d'intégration fiscale.
La création d’une holding personnelle peut également intervenir dans le cadre de l’optimisation de la cession de son entreprise, mécanisme d’apport-cession. Cela permet de constituer une holding sans mobiliser de trésorerie et de bénéficier du régime de faveur de l’article 150-0 B ter du CGI (report d’imposition des plus-values d’apport).
L’opération consiste à créer sa holding et à y apporter tout ou partie des titres de la société opérationnelle.
Ce régime permet de mettre la plus-value réalisée au moment de l’apport en report d’imposition jusqu’ à la survenance d’un des évènements suivants :
(i) le financement d’une activité opérationnelle en direct
(ii) l’acquisition de blocs de contrôle (iii) la souscription au capital d’une société opérationnelle ou
(iv) la souscription de parts ou actions de FCPR, FPCI, SLP ou SCR ;
Avant de réaliser une opération d’apport-cession il y a deux délais de conservation des titres apportés à prendre en compte.
Lorsque l’on décide d’apporter les titres de sa société opérationnelle, l’optimisation fiscale ne doit jamais être le seul critère de décision. Réaliser une opération d’apport-cession, OUI MAIS à condition d’être bien accompagné et de trouver le bon arbitrage entre apport-cession et cession en directe.
Lorsque la holding détient au moins 95 % du capital de ses filiales, elle peut opter pour le régime d’intégration fiscale. Ce régime permet de consolider les résultats fiscaux de toutes les sociétés du groupe comme s’il s’agissait d’une seule entité.
Les avantages de ce régime sont nombreux :
Le régime d’intégration comporte également un certain nombre de contraintes :
En pratique, l’intégration fiscale permet d’optimiser la charge fiscale globale du groupe, de renforcer sa solidité financière et de simplifier sa gestion. Une étude en amont permettra de modéliser la pertinence de la mise en place de ce mécanisme en fonction de chaque situation.
En effet, dans certains cas la mise en place du régime mère-fille permettant la remontée de dividendes des filiales vers la société holding avec une fiscalité limitée à 1.25%, peut-être plus pertinente.
La création d’une holding par associé permet à chacun de pouvoir facturer des management fees et remonter des dividendes dans sa société personnelle avec un coût fiscal limité.
Ainsi, chaque associé est libre de gérer les liquidités selon ses projets. Il peut décider de sortir une partie en se versant une rémunération et des dividendes. Il peut également utiliser cette holding comme une « cash box » pour développer son patrimoine financier ou immobilier en créant une SCI sous la holding, ou développer de nouveaux projets professionnels.
La création d’une holding peut également être un formidable outil de transmission. Il est généralement déconseillé et compliqué de transmettre les titres de la société opérationnelle sur lesquels une clause d’agrément est souvent prévu pour limiter l’entrée de nouveaux associés dans les statuts ou le pacte d’associé.
En créant une société holding personnelle, chaque associé a la liberté de transmettre tout ou partie des titres de la holding à ses proches.
Il existe différent moyen de transmettre les titres de sa société holding. Il est donc recommandé de se faire accompagner pour optimiser la transmission de sa holding au regard de chaque situation. Il est notamment possible d’opter pour une donation en démembrement afin pour le dirigeant de conserver un droit d’usufruit sur les titres, soit le droit au résultat.
Dans le cadre d’une donation en démembrement, il est fortement recommandé d’organiser la répartition des droits entre usufruitier et nus-propriétaires dans les statuts.
Dans la transmission d'entreprise, on peut penser à un pacte Dutreil. Ce pacte permet de transmettre des titres d'une société. Il offre une exonération de 75 % sur les droits de transmission.
Le bénéfice de cette exonération dépend de plusieurs conditions. Ces conditions concernent la nature de la société dont les titres sont transmis. De plus, il faut conserver les titres pendant au moins 6 ans.
Dans un contexte de renforcement accru de ce type de dispositif par l’administration fiscale, sa mise en place nécessite une analyse préalable de la situation et d’un bon accompagnement.
Si vous envisagez de créer une holding personnelle, il est essentiel de suivre les étapes nécessaires, telles que la rédaction des statuts, le dépôt du capital social, la publication dans un journal d’annonces légales et la constitution du dossier d’immatriculation de la société holding.
Il est également important de choisir soigneusement la forme juridique de la holding en fonction de son objectif.
Le choix de la structure juridique d'une holding personnelle est une décision stratégique, influençant à la fois la fiscalité, la gouvernance, la transmission et la protection du patrimoine. Les deux formes les plus courantes sont la Société à Responsabilité Limitée (SARL) et la Société par Actions Simplifiée (SAS), chacune répondant à des besoins spécifiques.
La SAS, appréciée pour sa grande flexibilité statutaire, permet une gestion souple, la libre cession des actions, et une direction simplifiée avec la seule nomination obligatoire d’un président. Elle convient aux projets dynamiques ou orientés vers la croissance.
La SARL, souvent privilégiée comme outil rémunération, offre une structure plus rigide mais sécurisante, avec un contrôle renforcé sur les cessions de parts grâce à l’agrément obligatoire des associés. Elle se distingue également par un régime social différent pour son dirigeant (régime des indépendants), générant des cotisations sociales moins élevées que dans une SAS.
À noter que dans les deux cas, un apport en nature nécessitera l’intervention d’un commissaire aux apports.
D’autres formes sont envisageables, comme la société civile – plus simple mais limitée dans ses possibilités – ou la SPFPL pour les professions libérales. Le choix dépendra donc de la nature de l’activité (civile ou commerciale), du régime fiscal souhaité (IS ou IR), du profil des associés (personnes physiques ou morales), du niveau de contrôle voulu sur les cessions de titres, et de l’objectif global de la holding (gestion patrimoniale, outil de rémunération, transmission, etc.).
Un audit personnalisé est souvent recommandé pour orienter ce choix de façon optimale.
Sans holding, les dividendes distribués par la société opérationnelle se retrouvent obligatoirement imposés au niveau de chaque associé personne physique à la flat tax de 30% (voire 37.2% avec les modifications apportées par la loi de finances 2025).
En interposant une société holding personnelle, cela permettra à chaque associé de remonter les dividendes au niveau de sa holding avec une fiscalité limitée à 1.25% grâce au régime mère-fille.
Le régime mère-fille permet à une holding détenant au moins 5 % du capital d'une filiale de bénéficier d'une exonération d'impôt sur les sociétés sur les dividendes perçus de 95%. Autrement dit, seul une quote-part de frais et charges de 5 % se réintégré au résultat de la holding imposable à l’impôt sur les sociétés au taux de 15% jusqu’à 42 500 € puis de 25%.
L’un des atouts majeurs d’une holding personnelle réside dans la possibilité d’opter pour le régime d’intégration fiscale, dès lors qu’elle détient au moins 95 % du capital de ses filiales.
Ce dispositif permet de consolider les résultats fiscaux de l’ensemble des entités du groupe comme s’il s’agissait d’une seule société, offrant ainsi de puissants leviers d’optimisation.
Les bénéfices et pertes des différentes structures peuvent se compenser : une filiale déficitaire peut venir neutraliser le bénéfice d’une autre, réduisant l’impôt global dû.
Autre avantage significatif, les dividendes versés par les filiales à la holding ne sont pas fiscalisés, évitant ainsi toute double imposition au sein du groupe. Ce régime favorise également la centralisation de la trésorerie, la mutualisation de certaines charges, et simplifie la gestion financière du groupe dans son ensemble.
Toutefois, il implique un engagement minimum de cinq ans et requiert une gestion rigoureuse afin de respecter les nombreuses obligations légales. Une sortie anticipée d’une société intégrée peut par ailleurs entraîner des ajustements fiscaux.
En pratique, l’intégration fiscale s’avère particulièrement efficace pour optimiser la solidité financière et la fiscalité d’un groupe structuré autour d’une holding.
Il existe plusieurs pour la gestion efficace des sociétés filles et des participations détenues par un holding personnelle.
La gestion des sociétés filiales sous une holding personnelle peut s’organiser selon plusieurs approches stratégiques. La holding peut notamment assurer un pilotage direct en occupant une fonction de direction (comme celle de présidente) au sein des différentes structures. Cela permet de centraliser la gouvernance, la stratégie et la politique du groupe à partir de la société mère.
Par ailleurs, la holding peut prendre en charge un certain nombre de services mutualisés – comptabilité, fonctions administratives, ressources humaines, etc. – renforçant ainsi son rôle de holding animatrice, un statut particulièrement avantageux pour bénéficier de dispositifs fiscaux comme le pacte Dutreil.
La holding peut également jouer un rôle central dans la gestion de la trésorerie du groupe. Elle peut ainsi équilibrer les flux financiers entre les filiales via des comptes courants d’associés ou des conventions de trésorerie, en fonction des besoins spécifiques de chaque entité. En cas de trésorerie excédentaire, la holding peut mettre en place une stratégie d’investissement ciblé, permettant non seulement une gestion financière optimisée, mais aussi le développement progressif de son propre patrimoine d’actifs.
La mise en place de distribution de dividendes au sein d’une société holding personnelle peut s’avérer particulièrement efficace.
Les dividendes remontés au niveau de la holding pourront par exemple être réallouer à une autre structure pour palier un besoin de trésorerie ou pour le développement de son activité.
Plutôt que de récupérer les dividendes à titre personnel avec un certaine fiscalité, les dividendes pourront permettre de développer un patrimoine financier ou d’immobilier de rapport au sein de la holding ou dans une filiale à vocation patrimoniale.
La création d’une holding personnelle permet de bénéficier de certains régimes fiscaux avantageux, notamment concernant la remontée de dividendes. Mais il est également possible d’utiliser la holding personnelle comme outil de rémunération ou outil d’optimisation de la fiscalité à la cession.
Les dividendes versés par les filiales à la holding peuvent bénéficier du régime fiscal mère-fille, qui limite la fiscalité à une quote-part de 1,25 %. Ce mécanisme aide à éviter la double imposition sur les sociétés. Il exonère presque entièrement les dividendes reçus par la holding du taux normal de 25 %.
Elle joue un rôle important dans la gestion de patrimoine. Elle offre des avantages fiscaux. Elle facilite la transmission des actifs. Elle sépare les activités professionnelles des responsabilités personnelles.À noter que le taux réduit de 15 % s’applique sur les premiers 42 500 € de bénéfices, ce qui peut ouvrir la voie à des stratégies d’optimisation en répartissant les bénéfices entre la société opérationnelle et la holding, afin de tirer parti de cette tranche favorable dans les deux structures.
Grâce à ce dispositif, la holding peut remonter les dividendes avec une fiscalité faible. Cela est différent d'une perception directe par une personne physique. Cette dernière est soumise à une flat tax de 30 %. Elle peut même atteindre 37,2 % avec la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus. Cette contribution s'applique si les revenus dépassent 250 000 € pour une personne seule et 500 000 € pour un couple.
La création d'une holding aide à contrôler et à reporter l'imposition. Cela permet aussi de réinvestir l'argent pour développer son patrimoine ou son activité.
Qu’il s’agisse de la distribution de dividendes à titre personnel ou de la cession de la société opérationnelle, la fiscalité applicable est généralement de 30 % (flat tax), voire 37,2 % en cas de dépassement des seuils fiscaux (selon la loi de finances 2025).
L’interposition d’une société holding constitue une stratégie efficace pour éviter cette imposition directe et encapsuler les dividendes remontés des filiales sous le régime mère-fille, réduisant ainsi la fiscalité à une quote-part symbolique de 1,25 %.
De plus, la holding permet d’optimiser la fiscalité en cas de cession des titres de la société opérationnelle grâce au dispositif fiscal connu sous le nom de « niche Copé ». Ce mécanisme s'applique quand la holding paie l'impôt sur les sociétés.
Il concerne la vente d'une participation d'au moins 5 %. Il y a des exceptions pour les participations plus petites dans certains cas. La participation doit être détenue depuis plus de 2 ans.
Dans ce cadre, la plus-value de cession est exonérée, à l’exception d’une quote-part de frais et charges (QPFC) de 12 %, intégrée au résultat imposable, soit une imposition effective d’environ 3 % (12 % x 25 % d’IS).
Attention toutefois : lorsque les titres de la société opérationnelle sont apportés à la holding peu avant leur cession (moins de 3 ans avant), un remploi de 60 % du prix de cession dans des activités éligibles doit être réalisé dans un délai de 2 ans, sous peine de remise en cause du report d’imposition.
Ce point, souvent négligé par les entrepreneurs, souligne l’importance d’être accompagné par un expert lors de la création d’une holding, afin de structurer les opérations de manière optimale et sécurisée, tant sur le plan fiscal que patrimonial.
La holding personnelle est un outil efficace pour la transmission du patrimoine. Elle permet d'organiser le transfert des actifs aux héritiers de manière structurée, en bénéficiant de dispositifs fiscaux avantageux tels que le pacte Dutreil, qui réduit les droits de mutation à titre gratuit
La holding personnelle constitue un levier stratégique particulièrement efficace pour organiser la transmission du patrimoine, qu’il soit professionnel ou privé. Elle permet de regrouper l’ensemble des participations, actifs financiers ou immobiliers au sein d’une seule structure, ce qui simplifie la gestion, la valorisation et le transfert de ces biens aux héritiers. Plutôt que de transmettre directement des titres de sociétés opérationnelles ou des biens détenus en propre, l’entrepreneur peut transmettre des parts de la holding, offrant une approche plus souple et cohérente.
L’un des principaux intérêts réside dans l’accès au pacte Dutreil, un dispositif fiscal particulièrement avantageux. Il permet de réduire jusqu’à 75 % la base taxable des droits de mutation à titre gratuit (donation ou succession) sur les titres transmis, à condition de respecter certaines conditions, notamment :
En structurant les actifs dans une holding, il devient plus facile de respecter ces conditions et de préserver le contrôle du groupe familial. De plus, la holding permet de moduler la transmission, par exemple en cédant progressivement des parts tout en conservant les droits de vote grâce à une gestion différenciée du capital et du pouvoir (parts sociales sans droit de vote, actions de préférence, etc.).
Autre avantage non négligeable : en intégrant des clauses statutaires adaptées (agrément, préemption, usufruit temporaire...), la holding peut être utilisée pour protéger les héritiers, maintenir la cohésion familiale et éviter les conflits, tout en facilitant la gouvernance du patrimoine transmis.
En résumé, la holding personnelle n’est pas seulement un outil de gestion : c’est un véritable instrument de structuration patrimoniale intergénérationnelle, alliant fiscalité optimisée, souplesse juridique et pérennité du patrimoine familial.
La détention des actions ou des parts sociales via une holding personnelle est un levier structurant en matière de gestion et de transmission du patrimoine. En regroupant les participations au sein d’une même entité, la holding permet une vision consolidée des actifs, ainsi qu’une gestion plus fluide des décisions stratégiques. Elle constitue également une interface protectrice entre les sociétés opérationnelles et les associés, en isolant le patrimoine professionnel des personnes physiques.
Sur le plan de la transmission, cette structuration présente plusieurs atouts majeurs. Transmettre des parts de la holding plutôt que des actifs individuels permet une répartition souple et équitable entre les héritiers, tout en conservant une unité de contrôle.
Grâce à la flexibilité offerte par certaines formes juridiques (notamment la SAS), il est possible d’attribuer des droits de vote différenciés ou de créer des actions de préférence, ce qui permet à certains membres de la famille de conserver la direction du groupe, tout en intégrant progressivement les autres dans le capital.
La holding offre aussi la possibilité d’introduire dans ses statuts des clauses spécifiques pour renforcer la stabilité du groupe familial, comme :
Ces dispositifs sont particulièrement précieux pour organiser la gouvernance familiale, prévenir les conflits, et garantir que le patrimoine professionnel reste dans le cercle restreint des ayants droit.
Enfin, en cas de besoin, la détention centralisée via la holding permet de procéder à des restructurations internes (cession de filiales, apports, fusions...) de façon plus simple et fiscalement optimisée, renforçant la pérennité de l’ensemble du patrimoine transmis.
La holding personnelle se révèle être un outil stratégique complet pour les entrepreneurs souhaitant structurer, développer et transmettre leur patrimoine de manière efficace et optimisée. Son intérêt repose sur plusieurs piliers fondamentaux :
Et demain ?
Face à un environnement fiscal et juridique en constante évolution, la holding personnelle apparaît comme un véritable levier d’adaptation et de sécurisation du patrimoine des dirigeants et investisseurs. Dans un contexte où les régimes fiscaux deviennent plus complexes et où la gestion intergénérationnelle des actifs prend de l’importance, la holding offre souplesse, visibilité à long terme, et maîtrise des flux.
Cependant, sa mise en place nécessite une approche rigoureuse et personnalisée. Il est essentiel de se faire accompagner par des experts pour éviter les écueils (abus de droit, mauvaise structuration, clauses mal rédigées) et pour modéliser les arbitrages fiscaux et juridiques selon les objectifs spécifiques du porteur de projet.
La holding personnelle n’est pas une solution miracle, mais lorsqu’elle est bien pensée, elle peut devenir une clef de voûte stratégique du patrimoine professionnel et familial. Réserver votre consultation gratuite !
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