Comment Bien Préparer sa Retraite ? Notre guide complet
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La retraite représente un tournant majeur dans l'existence, nécessitant une préparation minutieuse. Ce passage marque le début d'une nouvelle phase de vie, avec son lot de modifications, tant au niveau financier que personnel.
Comment s'assurer de bénéficier de revenus suffisants pour préserver son niveau de vie ? De quelle manière optimiser son temps libre et réaliser ses projets ? Comment se prémunir contre les éventuels problèmes de santé ou de dépendance ?
Ce sont là des interrogations essentielles à considérer bien avant le départ à la retraite, pour en profiter pleinement et en toute quiétude.
Dans cet article, nous vous offrons un guide exhaustif pour préparer efficacement votre retraite, peu importe votre âge ou votre situation professionnelle. Nous vous montrerons comment évaluer votre position actuelle et définir vos objectifs de retraite, identifier les stratégies d'épargne et d'investissement les plus pertinentes pour vous, optimiser votre fiscalité et anticiper les risques potentiels. Enfin, nous vous conseillerons sur les meilleures façons de savourer cette nouvelle phase de votre vie. Suivez le guide !
Préparer sa retraite exige une évaluation précise de sa situation actuelle et la définition claire de ses aspirations futures. Cette démarche essentielle vous aide à comprendre votre position actuelle, vos possibilités futures et les actions à entreprendre pour réaliser vos objectifs. Suivez ces trois étapes clés pour évaluer votre situation et définir vos objectifs de retraite.
Commencez par analyser votre carrière et vos droits à la retraite. Consultez votre relevé de carrière pour un récapitulatif de votre parcours professionnel et de vos cotisations aux différents régimes de retraite. Utilisez le service en ligne Mon estimation retraite pour simuler le montant de votre retraite selon l'âge de départ envisagé, en prenant en compte les réformes des retraites. Ce service vous renseigne sur le nombre de trimestres nécessaires et déjà acquis, ainsi que sur les décotes ou surcotes éventuelles.
En faisant le bilan de votre carrière et de vos droits, vous obtiendrez des informations cruciales comme votre âge légal de départ, l'âge pour un départ à taux plein, la durée d'assurance et une estimation de votre retraite. Cela vous offrira une vision précise de votre situation et de ce qui vous attend.
La seconde étape est l'évaluation de vos besoins financiers pour la retraite. Examinez vos dépenses et revenus actuels pour les projeter dans l'avenir. Prenez en compte les modifications possibles de votre mode de vie, comme les déménagements, voyages, loisirs, santé, et la dépendance, ainsi que les évolutions fiscales et sociales futures.
En définissant vos besoins financiers, vous pourrez déterminer le niveau de revenu souhaité à la retraite et le taux de remplacement nécessaire. Le taux de remplacement, qui varie selon les régimes de retraite et les parcours professionnels, représente le ratio entre votre retraite et votre dernier salaire. En moyenne, il est de 75% pour les salariés du secteur privé.
La dernière étape vous amène à définir des objectifs de retraite réalistes et personnalisés. Comparez votre situation et vos besoins financiers à la retraite pour identifier les écarts et intégrer vos projets et désirs de retraite dans votre planification.
Vous pouvez ainsi déterminer l'âge de départ souhaité, le montant à épargner et les types de placements à privilégier. En fixant des objectifs adaptés à votre profil et à vos aspirations, vous pourrez élaborer une stratégie sur mesure, mettre en œuvre les actions nécessaires et suivre vos progrès régulièrement.
Pour atteindre vos objectifs de retraite, évaluer votre situation et définir vos besoins ne suffisent pas. Il est crucial de mettre en œuvre des stratégies d'épargne et de placement efficaces, qui vous aideront à constituer et faire fructifier votre patrimoine. Découvrez les quatre points essentiels pour optimiser votre épargne retraite.
Plusieurs solutions s'offrent à vous pour épargner en vue de votre retraite, chacune présentant ses avantages et inconvénients :
La sélection du véhicule d'épargne retraite le plus adapté dépend de critères tels que votre âge, horizon de placement, niveau de risque, et objectifs. L'accompagnement d'un conseiller financier indépendant est recommandé pour affiner votre stratégie.
Il est crucial de commencer à épargner le plus tôt possible pour bénéficier pleinement de l'effet de capitalisation. Plus vous épargnez tôt, plus votre capital a le temps de croître grâce aux intérêts composés, permettant ainsi de réduire l'effort d'épargne nécessaire pour atteindre vos objectifs de retraite.
Commencer tôt vous offre aussi la possibilité de prendre davantage de risques avec des supports plus dynamiques, tout en vous donnant la flexibilité de vous adapter aux imprévus de la vie.
La diversification de votre portefeuille est essentielle pour optimiser votre épargne retraite. Elle permet de réduire le risque global, de saisir des opportunités sur différents marchés et d'adapter votre portefeuille à votre profil d'épargnant. Vous pouvez diversifier par classe d'actifs, zone géographique, ou secteur d'activité, en utilisant des outils comme les FCP, SICAV, trackers, ou ETF.
Une gestion efficace de votre épargne implique d'adapter votre portefeuille au fil du temps, en fonction de l'évolution de votre situation et de vos objectifs. On distingue généralement trois phases :
Un bilan annuel de votre épargne retraite est conseillé pour effectuer les ajustements nécessaires et optimiser votre stratégie d'investissement.
La préparation de votre retraite va au-delà de l'épargne et de l'investissement. Il est crucial d'optimiser votre fiscalité et d'anticiper les risques pouvant impacter votre patrimoine et vos revenus. Découvrez les quatre points clés pour assurer votre sécurité financière future.
Chaque option d'épargne retraite possède ses propres implications fiscales, influençant directement le montant dont vous disposerez à la retraite. Il est essentiel de saisir l'impact fiscal de vos décisions d'épargne pour les aligner avec votre situation et vos ambitions.
Voici les éléments essentiels à considérer :
Pour optimiser votre fiscalité, il est primordial de choisir les produits d'épargne retraite les plus adaptés à votre profil, en prenant en compte divers facteurs comme votre tranche d'imposition ou vos objectifs de transmission. Un conseiller fiscal peut vous guider vers la stratégie la plus bénéfique.
La transition vers la retraite peut entraîner une diminution de vos revenus. Il est donc crucial d'anticiper cette baisse et d'ajuster votre stratégie d'épargne en conséquence.
Éléments à considérer :
Évaluer ces éléments vous permettra d'adapter votre stratégie d'épargne en vue de la retraite. C'est particulièrement pertinent pour les dirigeants d'entreprise qui doivent anticiper le montant de leur pension et trouver les meilleures façons d'augmenter le montant de sa pension. Un conseiller financier peut vous accompagner dans la définition et la mise en œuvre de votre plan d'épargne retraite.
Protéger votre patrimoine et vos revenus contre l'inflation et les fluctuations du marché est essentiel pour préserver votre pouvoir d'achat et votre rentabilité à long terme.
Points clés :
La sélection de supports d'investissement adaptés à votre profil est cruciale. Un conseiller financier peut vous orienter vers les produits les plus appropriés.
Organiser le transfert de votre patrimoine à vos héritiers fait partie intégrante de la préparation de votre retraite. Cela permet de sécuriser l'avenir financier de vos proches tout en optimisant les droits de succession.
Éléments essentiels :
La planification de votre succession nécessite une stratégie adaptée à votre situation et vos objectifs. Cela est d'autant plus important lorsqu'on cherche à préparer sa retraite en tant que dirigeant d'entreprise, avec les spécificités que cela implique. Un conseiller financier peut vous accompagner dans cette démarche.
Il est clair que la préparation de la retraite est une phase cruciale de l'existence, nécessitant une planification méticuleuse. Il est essentiel d'évaluer votre situation personnelle et de déterminer vos objectifs de retraite. Cela implique de mettre en œuvre des stratégies d'épargne et de placement judicieuses, d'optimiser votre situation fiscale, de prévoir les éventuels risques, et de penser à la planification de votre succession.
En appliquant ces recommandations, vous serez en mesure de bâtir un patrimoine et de générer des revenus suffisants pour conserver votre niveau de vie, réaliser vos projets et protéger l'avenir de vos proches.
Toutefois, il est conseillé de ne pas différer cette préparation. Plus tôt vous commencez, notamment si vous êtes médecin libéral, plus vous avez d'options pour optimiser votre planification fiscale et profiter du cumul emploi retraite en tant que médecin libéral. Plus vous bénéficiez de l'effet de capitalisation, de la diversification et d'une fiscalité favorable. Pour ceux qui souhaitent un soutien dans la définition et la mise en œuvre de leur plan d'épargne retraite, faire appel à un conseiller financier peut s'avérer très bénéfique.
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prendre rendez-vousDans les statuts de la SAS (Société par Actions Simplifiée) et de la SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle), la protection sociale du président et ses droits en matière d'assurance retraite sont étroitement liés à son niveau de rémunération, ce qui influence la gestion de l'entreprise et le statut du dirigeant salarié.
Ainsi, en l'absence de toute autre forme de couverture sociale engendrée par une activité supplémentaire ou par l'entreprise, l'entrepreneur qui occupe la fonction de président au sein d'une SASU se voit dans l'obligation de se verser une rémunération, afin d'assurer ses cotisations sociales et garantir ses droits à la retraite, même si le montant de celle-ci est faible.
Découvrez à cet égard comment optimiser votre rémunération grâce à des conseils personnalisés dans l’optique de la préparation de votre retraite de président de SAS, en intégrant des solutions de retraite complémentaire adaptées à votre régime.
Les rétributions perçues par le président d’une SAS ou d'une SASU sont soumises à des cotisations sociales et à des prélèvements sociaux, garantissant ainsi l'accès aux prestations sociales qui en découlent. Conformément aux principes applicables aux salariés, l'absence de rémunération empêche le président de valider des trimestres de retraite au sein de la Société, impactant ainsi ses droits à pension.
Afin de cotiser pour une année de retraite, le président d'une SAS (ou d'une SASU) est tenu de s'accorder une rémunération d'au moins 600 fois le taux horaire du SMIC (11,27 € au 1er janvier 2023). Cette rémunération génère des revenus assurant la sécurité de son statut de dirigeant et permet de verser les cotisations sociales nécessaires. Cela équivaut à un montant annuel de 6 762 € ou à un montant mensuel de 563,5 €, permettant ainsi la validation de 4 trimestres de retraite.
Par ailleurs, le régime de retraite des présidents de SAS prend en compte votre statut d’assimilé-salarié, offrant ainsi des avantages spécifiques en matière de gestion de vos droits sociaux.
De ce fait, vous ne pouvez pas prétendre aux contrats d'assurance complémentaire de type Madelin, qui sont réservés exclusivement aux travailleurs non-salariés (TNS). Nous vous recommandons donc vivement d’intégrer le versement d’une rémunération minimale dans l'élaboration de votre plan financier préliminaire, afin de mettre en place des solutions de gestion de votre régime social.
Dans cette perspective, nous pouvons vous accompagner avec nos conseils experts pour l'établissement minutieux de ce document prévisionnel qui doit démontrer la viabilité économique de votre projet et la gestion de votre régime social. Essentiel, ce dernier servira de base de discussion dès le début de votre recherche de financements, notamment auprès des institutions bancaires.
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L’accès à une pension de retraite est donc conditionné au salaire que touche le dirigeant assimilé salarié, influençant ses droits sociaux et les cotisations réalisées dans son régime de retraite.
Un président de SASU, bien qu'ayant un statut d'assimilé salarié, ne cotise pas pour sa retraite s’il ne perçoit aucune rémunération. Contrairement aux travailleurs non salariés (TNS), il ne peut pas non plus adhérer à une assurance retraite complémentaire. Cette absence de rémunération le prive donc de droits pour sa retraite, compromettant la sécurité de ses revenus futurs.
Si vous êtes président de SASU et choisissez de vous rémunérer uniquement par dividendes, vous ne cotisez pas non plus pour la retraite. Les dividendes ne sont pas assimilés à une rémunération salariale et, en tant que revenus de capitaux mobiliers, ils n'ouvrent droit à aucun trimestre de cotisation retraite, car aucune charge sociale n'est prélevée sur ces sommes, affectant ainsi votre régime de retraite et vos droits sociaux.
Adopter une stratégie de président de SASU non rémunéré peut être avantageuse dans certains cas, en fonction de votre plan de retraite et des solutions de cumul d'activités.
Une autre option pour préserver ses droits et assurer la sécurité de ses revenus consiste à cumuler la fonction de président de SASU non rémunéré avec une activité d’auto-entrepreneur. En facturant certains services à la SASU via ce statut, certains entrepreneurs évitent de perdre leurs droits. Cependant, cette approche peut présenter des risques en termes de sécurité sociale et de gestion de votre plan de retraite.
Attention : si l'auto-entrepreneur n'a que sa SASU comme client, et surtout s'il facture des tâches de gestion ou de direction, l'Urssaf pourrait requalifier ce statut en celui de salarié, mettant en péril votre régime social. De plus, cela pourrait entraîner un risque de non-déductibilité fiscale pour la société, affectant sa performance financière.
Pour les dirigeants aspirant à une transition souple vers la retraite, la retraite progressive est une option à envisager dans le cadre de votre plan de retraite. Ce dispositif, permettant à un dirigeant de commencer à percevoir une partie de sa pension tout en réduisant son temps de travail, apporte la flexibilité et la sécurité d'un départ graduel.
Lorsque le dirigeant d'une SASU, autre que l’associé unique, est également salarié, il peut prétendre aux indemnités de départ à la retraite, au même titre que tout salarié. Pour cela, les fonctions occupées dans le cadre du contrat de travail doivent être nettement séparées des responsabilités de gestion ou de direction, afin de respecter le régime social applicable.
Ce dirigeant perçoit donc un bulletin de salaire régulier. S'il met un terme à son activité, les indemnités de départ sont calculées en fonction de son ancienneté et de ses droits sociaux acquis :
Ces indemnités sont exonérées d'impôts dans une limite fixée à 3 050 euros. Tout montant supérieur à ce seuil est soumis à l’impôt, conformément au régime fiscal applicable.
Un dirigeant de SASU qui n'a pas de contrat de travail, notamment s’il est l’associé unique, n’est pas éligible aux indemnités de départ à la retraite, ce qui affecte ses droits sociaux et son plan de retraite.
En effet, l'associé unique ne peut pas cumuler les rôles de salarié et de mandataire social, car il n'existe pas de lien de subordination dans cette configuration, ce qui complique la gestion de son statut social et ses droits à la retraite.
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Pour valider des trimestres de retraite, un président de SAS doit percevoir une rémunération minimale de 7 128 euros par an, soit 594 euros par mois, ce qui correspond à 600 fois le taux horaire brut du SMIC par an. Cette rémunération lui permet de valider quatre trimestres de retraite chaque année .
Un président de SAS peut bénéficier de la retraite progressive à partir de 60 ans , à condition de justifier de 150 trimestres de cotisation dans tous les régimes de retraite de base. Il doit également réduire son activité et l'exercer à titre exclusif, entre 40% et 80% de la durée légale ou conventionnelle de travail .
Un dirigeant de SASU ayant le statut de salarié peut recevoir des indemnités de départ à la retraite basées sur son ancienneté. Here are the details: - 10 à 15 ans d'ancienneté : La moitié d’un mois de salaire. - 15 à 20 ans d'ancienneté : Un mois de salaire. - 20 à 30 ans d'ancienneté : Un mois et demi de salaire. - Plus de 30 ans d'ancienneté : Deux mois de salaire. Le salaire pris en compte pour le calcul est soit la moyenne des 12 derniers mois, soit le tiers des 3 derniers mois, selon ce qui est le plus avantageux .
Le montant de la pension de base d'un président de SAS est calculé en prenant en compte plusieurs paramètres : - Revenu annuel moyen : moyenne des rémunérations des 25 meilleures années de carrière, dans la limite du Plafond Annuel de la Sécurité Sociale (PASS). - Taux de pension : maximum de 50% pour une durée complète de cotisation. - Durée d’assurance : nombre de trimestres cotisés divisé par la durée de référence pour obtenir une pension à taux plein. La formule de calcul est : Revenu annuel moyen x Taux de pension x (Durée d’assurance / Durée de référence) .
Lors de sa première élection en 2017, le président Emmanuel Macron, nouvellement élu, expliquait, selon ses propres termes, qu’il souhaitait « libérer les freins de la croissance des entreprises » en France. En effet, nombreux sont les dispositifs qui limitaient les entreprises dans la création d’emploi, mais aussi dans leur financement, leur développement et leurs innovations.
Objectif ? Assurer davantage de « flexi-sécurité » dans le paysage économique français et permettre ainsi tout aussi bien aux entreprises qu’aux employés d’être gagnants dans le monde d’aujourd’hui, tout en répondant aux besoins et aux évolutions du monde de l’entreprise. Dans le sillon de cette volonté, apparut, en 2019, le plan d’action pour la croissance et la transformation de l’entreprise, plus connue sous le nom de « loi pacte ».
Si la Loi Pacte a modifié profondément le fonctionnement des entreprises, elle a également eu plusieurs impacts sur le mode de fonctionnement du PER et de l’assurance vie. Noun Partners fait le point.
Si vous souhaitez transférer votre assurance-vie et avoir de plus amples informations sur la loi pacte, cliquez sur le bouton ci-dessous. Autrement, continuer votre lecture.
La loi pacte est une loi, au travers de ses 70 articles, qui a eu pour objectif de répondre à quatre objectifs majeurs : ceux de faciliter la création et la transmission d’entreprise, de débloquer la croissance des petites et des moyennes entreprises, d’inciter les particuliers à financer l’économie et de rendre les entreprises plus justes et davantage responsables, tout aussi bien au niveau social qu’environnementale.
Les objectifs de la loi pacte se traduisent aujourd’hui par plusieurs mesures concrètes, comme c’est notamment le cas de la simplification des seuls d’effectif applicable aux PME, de la suppression du forfait social sur l’intéressement et la participation des moyennes entreprises, de la facilitation pour la création d’entreprise grâce à la création de solutions en ligne de création d’entreprises ou encore de l’encouragement de la recherche publique et privée des entreprises.
À cela s’ajoute également une mesure de la loi pacte, celle qui nous intéresse dans cet article : uniformiser et assurer la portabilité des produits d’épargne retraite, notamment via la création d’un plan d’épargne unique. Il s’agit du PER.
L’un des principaux objectifs de la loi Pacte a été d’uniformiser les produits d’épargne existants en France en donnant naissance au PER, qui a remplacé progressivement les autres plans d’épargne retraire existant.
Noun Partners fait le point sur les impacts de la loi Pacte sur les produis d’épargne.
Le principal impact qu’a eu la loi Pacte sur les produits d’épargne est de faciliter le transfert de fonds. En effet, avant la promulgation de la loi Pacte, les règles fiscales concernant le transfert d’assurance vie étaient particulièrement restrictives et limitées.
De ce fait, il était quasiment impossible de changer de contrat d’assurance vie. Ce dernier point représentait alors un problème de taille : le seul moyen de changer de contrat était de clôturer un compte actuel et d’en ouvrir un nouveau. Un procédé extrêmement contraignant, du fait même que cette action s’accompagnait d’une perte d’ancienneté (on rappelle que les sommes d’un compte épargne sont défiscalisés au bout de huit ans) ou d’une perte des avantages successoraux liés aux cotisations versées avant 70 ans.
Cela permet notamment de bénéficier d’une modification des frais (frais de gestion ou frais de versement) liés au contrat, de profiter de meilleurs conseils d’investissement si son conseiller ou son assureur n’est pas satisfaisant ou même de changer le mode de gestion ou l’offre de support d’investissement de son contrat.
La loi Pacte a ainsi grandement facilité le transfert d'assurance-vie d’un compte à l’autre, ce qui a permis aux particuliers d’épargner plus facilement et de profiter de plus d’avantages liés à leur compte épargne.
Résultat : il est plus facile d’épargne pour les Français.
S’il existait, avant la promulgation de la loi Pacte, de très nombreux produits d’épargne, il existe dorénavant un seul système d’épargne retraite simplifié. En effet, la totalité des produits d’épargne a été uniformisée et harmonisée pour donner naissance au PER (plan Épargne retraite).
Ce nouveau plan d’épargne est divisé en trois segments : le PER individuel [PERIN], le PER d’entreprise collectif [PERCOL] et le PER d’entreprise catégoriel [PERCAT].
L’objectif de la réforme était alors d’inciter les particuliers, mais aussi les entreprises, à choisir ce nouveau type de placement. Un pari qui semble avoir porté ses fruits. En effet, à la fin 2020, le montant de l’épargne retraite en France atteignait les 147 milliards d’euros.
Chez Noun Partners, nous avons la ferme conviction que le meilleur moyen de préparer sa retraite est d’investir dans plusieurs solutions.
Il s’agit en effet d’une solution qui permet de compléter sa retraite de base grâce à des revenus complémentaires issus de solutions de capitalisation ou d’investissement.
Cela est d’autant plus important que le système de retraite par répartition est de plus en plus fragile et que plusieurs réformes sont en cours d’étude pour la refonte de notre système de retraite. Il devient alors urgent de se préparer et d’anticiper ces futures réformes.
La première solution pour profiter d’un complément de revenu une fois partie à la retraite est de s’orienter vers l’épargne.
Il existe aujourd’hui de très nombreux produits qui permettent de compléter et d’optimiser sa pension grâce à une rente ou un capital. Il existe aujourd’hui plusieurs placements sur le long terme, comme c’est le cas de l’épargne retraite, du plan épargne retraite (PER) ou encore de l’assurance vie. Ces fonds peuvent être alimentés tout au long de sa vie professionnelle, en fonction de ses besoins et de ses revenus, de manière relativement souple et peuvent être retirés sous forme de rente ou de capital lors de son départ à la retraite.
Les cotisations à un PER ou à une assurance vie permettent de bénéficier, dans la limite de certains plafonds, d’avantages fiscaux et de réduire le montant de ses impôts. Ces mêmes sommes investis échappent également aux frais de successions, ce qui fait de ces produits d’épargne de formidables solutions pour optimiser le montant de ses impôts.
Il est également possible de se tourner des solutions de fonds de retraite privé. Ces solutions permettent de faire face à l’essoufflement de la retraite par répartition et à la forte pression fiscale des revenus fonciers. Ils permettent, à terme, de sécuriser tout aussi bien sa retraite, grâce à la création d’un capital, mais aussi de sécuriser l’avenir de son conjoint ou de ses enfants.
Plusieurs organismes, comme c’est le cas de Noun Partners, offrent d’ores et déjà ces solutions de retraite par capitalisation.
Finalement, l’un des investissements les plus plébiscités par les Français reste l’immobilier, notamment chez les particuliers qui ont pu faire l’acquisition d’une résidence principale au début de leur carrière. L’immobilier permet en effet de compléter ses revenus, notamment en procédant à un investissement locatif, ou permet même de réaliser de belles plus-values en cas de revente.
La première étape consiste à réaliser un bilan et un audit de sa retraite pour identifier ses futurs revenus, mais aussi ses futures dépenses. Il s’agira ensuite de se tourner, en fonction de ses besoins, vers des investissements qui permettront de dégager des compléments de revenus, comme c’est le cas des produits d’épargne ou des fonds de retraite par capitalisation.
Devant la complexité de la tâche, nombreux sont les Français qui n’hésitent plus, aujourd’hui, à s’adresser à des professionnels, comme c’est le cas de Noun Partners, pour valoriser son patrimoine et identifier les meilleures solutions pour optimiser sa retraite et ses investissements.